"Cet ajustement du budget est classique mais il permet cette année d'inscrire les crédits pour augmenter le tarif horaire des services d'aide à la personne, une nécessité, c'est donc une bonne chose."
"En revanche, nous nous inquiétons des 800 000 euros supplémentaires liés aux taux d'intérêt en hausse et surtout du redéploiement de crédits issus du secteur médico-social et culturel pour y faire face."